Ce volume, le dernier, étudie les différentes figures de la Totalité dans l’histoire, depuis les premiers empires jusqu’à l’actuelle mondialisation. Il montre que c’est par toute une série de méprises théoriques et politiques que le totalitarisme a fini par imposer sa forme tragique à la totalité même. Il s’achève par l’espoir que la présente mondialisation, figure concrète de la totalité humaine en voie d’autoréalisation, ne perdra pas le sens de l’universel, car c’est dans cette synthèse seule que la Totalité rêvée par la religion, pensée par la philosophie, connue par la science, représentée par l’art, peut véritablement se réaliser.