» Le lendemain on a trouvé son corps au bas de la falaise. C’est un chien qui s’en est approché le premier, l’homme suivait, essoufflé, en survêtement bleu. C’était un peu avant l’aube. À cette heure tout est désert, le ciel est vide et gris, et la mer au-dessous est une gueule de froid, un formidable aimant qui rugit et appelle. Il y a aussi des musiques suspendues derrière cet appel, qui renvoient à chacun les sons qu’il veut entendre. Et tandis qu’elle tournoie dans l’air glacé c’est comme du Bach qu’elle entend. «