Champ Vallon

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Philippe | AGARD

Voici quelques poèmes compassés et sauvages, où l’humeur folâtre le dispute à la mélancolie. Poèmes en mode mineur, textes mutins, frondeurs ou graves, pour « coucher » la grive : avec aplomb !
Epiphonies — en quelque sorte, où s’abouchent mystère et précision, soleil, vent, oisiveté, ingrédients aux saveurs sûres.
Où passent quelques ombres (Mallarmé, Ponge, Heaney, Doumet ou Goffette…) et d’autres encore.

La fleur tait son nom aux chiens qu’elle tient en laisse.

Plomb des grives – Philippe Agard 2015