À travers le Roi Lear, le Vautrin de Balzac, les œuvres de Nietzsche, Hugo, Artaud, Nerval, J. Gillibert opère quelques coups de sonde dans folie et création entremêlées et démêlées. Il en ressort, c’est sa thèse, que les formes de la folie ressemblent à s’y méprendre aux forces décréatives de la création; mais les premières ne libèrent qu’un défi destructeur et les autres, au-delà de toute déchéance et par mutation, délivrent la violence des premières libertés.