Hölderlin:
Le chemin de lumière
Le sommaire
Table
I /
«Dans tes vallées mon cœur s’est éveillé à la vie…»
1771-1788: l’enfance et l’apprentissage du métier de poète
II /
«Ah! là-bas, dans le lointain sans nuages
m’appelle, moi aussi, la sainte liberté»
1788-1790: les hymnes de Tübingen
III /
«Le petit ouvrage que je tisse vraiment de ma vie
… mon hypérion…»
1792: débuts d’Hypérion
IV /
«Comme un fleuve aux rives arides, dans lequel
nulle feuille de saule ne se reflète…»
1794: Hypérion (le «Fragment Thalia»)
V /
«J’ai navigué dans un monde de joie…»
Janvier-septembre 1796: Diotima vivante: Hypérion, vol. 1
(version définitive)
VI /
« … que cette chose sainte en moi,
au fond de mon cœur, le poème prenne forme»
Octobre 1796-septembre 1798: D’Hypérion à Empédocle
VII /
«Toutes tes joies, o terre, les vraies, telles que
chaudes et pleines, peine et amour les mûrissent…»
Automne 1798-printemps 1800: Empédocle, Comme au jour de fête
VIII /
«Alors célèbrent leurs noces, hommes et dieux»
Eté 1800-hiver 1801: Stuttgart et Hauptwil:
L’Archipel, Le Rhin, Pain et vin
IX /
«Apollon m’a frappé»
Janvier-mai 1802: Bordeaux
X /
«Proche et difficile à saisir, le dieu»
Eté 1802-été 1804: Ratisbonne, Nürtingen:
L’Unique, Patmos, Souvenir
XI /
«L’esprit qui porte en lui le mystère d’un rythme inné»
Eté 1804-été 1806: Le second séjour à Hombourg:
Les Fragments de Pindare
XII /
«Lorsque dans le lointain s’en va la vie…»
1806-1843: Tübingen
Note sur la traduction /
Chronologie /
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