La guerre est épouvantable, et c’est ce que veut dire un tel titre. Poèmes du vertige, du halètement, de l’épouvante. Parler de la guerre comme on sortirait de chez soi en toute hâte, horrifié, la main soufflée, brûlée par la bouteille de gaz qui vient d’exploser, les cheveux ébouriffés.