« Ce n’est pas tous les jours qu’on chasse dans cette maison. Le gibier fait trop souvent défaut. Celui-là sera saisi à bras le corps, léché, mordu, dévoré comme il faut. Et quand il aura tout donné, qu’il sera épuisé, alors elles le laisseront. Il sera comme un nourrisson, nu sur le vert sauge de la prairie, et elles, elles auront des souvenirs pour les soirs d’hiver lorsqu’il est si long, si désespérant d’attendre derrière les fenêtres l’arrivée d’un étranger ».
« Ce que Les Gouvernantes raconte, c’est la vision enfiévrée de quelqu’un qui n’est pas l’auteur, mais son narrateur. Vous assistez à des scènes que normalement vous ne devriez pas voir. C’est un conte de fées du voyeurisme ». The Paris Review